Patrice Gonzales, chercheur au CNRS, nous explique les résultats du projet de recherche participative mené avec 63 élèves de première spécialité SVT au Lycée de la Mer. L’objectif était d’analyser l’impact des contaminants potentiellement présents dans la baie sur les huîtres du bassin d’Arcachon. Les analyses ont porté sur l’expression de gènes impliqués dans les mécanismes de défense chez trois types d’huîtres. Pour cela, il a fallu se focaliser sur trois sites principaux : • Un site de référence, le banc d’Arguin. • Un site interne, le Grand Banc. • Un site proche de l’exutoire de la Leyre, le site de Gujan. Les résultats montrent peu de différences entre les sites du Grand Banc et du banc d’Arguin, suggérant une faible contamination. En revanche, à Gujan, les huîtres réagissent à des perturbations environnementales, notamment par une réponse au stress oxydant, une augmentation de l’activité mitochondriale et, pour la première fois, des signes d’apoptose, c'est-à-dire de suicide cellulaire. Leur état physiologique préoccupant, confirmé par une coloration inhabituelle, suggère un lien avec les débordements de pesticides détectés en décembre dans le bassin d’Arcachon. Ces données, exploitables sur trois ans, ouvrent la voie à une publication scientifique.
Immersion exclusive à la B120 de Cazaux !
Le lundi 27 janvier, une manifestation a été organisée devant le Syndicat intercommunal du bassin d’Arcachon. Dans un communiqué, l’association avait exprimé son inquiétude…
Lège-Cap-Ferret : le bourg de Lège, né du vent et du sable, nous dévoile aujourd’hui ses richesses patrimoniales.
Nous sommes partis à la rencontre des Andernosiennes et des Andernosiens pour découvrir leurs bonnes résolutions pour 2025
Aujourd'hui, nous sommes allés à la rencontre des habitants de La Teste pour leur poser une question simple mais essentielle : "Qu'allez-vous cuisiner pour le réveillon du 31 ? Et consommez-vous local ?" 🥂🍽️
Dans ce nouveau numéro, nous partons à la rencontre des libellules, ces insectes se divisent en deux groupes. Celles qui appartiennent au sous-ordre des anisoptères ont les ailes étalées sur les côtés au repos, alors que celles du sous-ordre des zygoptères, aussi appelées demoiselles, ont les ailes dressées au-dessus du corps. La Suite en images